"En tant que Polynésienne, tu te dis que c'est normal, que peut-être que c'est toi qui as fauté, alors que pas du tout. J’ai appris qu'il y avait plusieurs formes de violences, même le fait que tu te sentes dominé, c'est une forme de violence. C'est pas seulement des coups ou lorsque l'on te force à avoir des rapports sexuels, c'est pas seulement ça. C'est aussi les paroles." Etudiante du Lycée Diadème
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Les élèves internes de l’établissement ont d’ailleurs exprimé leur désir de paix sur une fresque. Perrine Chabaud, documentaliste du collège lycée Diadème explique que : "le message c'est que chacun puisse s'exprimer, en fonction de son cheminement et de son vécu. On souhaite vraiment libérer la parole."
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